Cycles et Civilisations – Volume 1, Bâillon

Cycles et Civilisations – Volume 1, Bâillon

Volume 1 – Bâillon

Accordons les nos violons et commençons
à coup de douze pieds arrimés au fion
cette histoire de couillons armés de bâillons.
Finissons en, entamons la prestation:

J’ai encore enfilé le bâillon de la honte.
Me voila gêné, ils disent “papa raconte”,
Et sans conviction je leur balance un conte,
Mais vite, cette fiction, il la démonte.

Mes enfants soupçonnent maintenant un Géronte.
Car j’ai un genoux à terre devant ces Pontes.
Notre papa nous ment et c’est tout ce qui compte,
et ils ont le sentiment que papa a honte.

Qui a de l’intelligence doit bien compter.
Avant que huit heures ne soient Accumulées,
Le fort-mal-déhyde doit être maîtrisé.
Quatre vingt microgrammes par cube métré.

Le cancer s’est quand sait, s’il n’est pas ventilé
Choisis à ton enfant si con train est fort sait
Le bâillon tissu, ni ef ef pé, ni papier.
Son sang réclame ta clémence et ta pitié.

Dans le bâillon, deux jumeaux d’oxydes baladent
leur compagnon carboné, en bon camarade.
Il dit oxyde, car bonne, elle rend malade.
Parent, prend garde s’ils sont mil par millions.

Cinq ans, il est muselé de la bouche au nez,
Il subit l’entropie du Mal sans dignité.
Par ton inaction tu l’a suicidé.
L’absence d’énergie produit un mal aimé.

Cherche la marque du bâillon dans ses poumons,
Son bon sang est signé par leur ambition,
contresigné de silences en légions
qui par millions sont son approbation.

Sa bouche est un réservoir, un microbiote
Son petit bâillon est son bouillon de culture.
Autant ne pas se laver après les chiottes,
Miam miam, qu’il est bon ce couillon de bulture.

Elle est tombée notre civilisation,
de la Lis ber thé, à l’autorisation
sous les ovation des abrutis, l’extinction,
logique version de leurs aberrations

Fils de El, créés à l’image providentielle
Sang thé de tes enfants s’écrit sur logiciel
Ta précipitation est combien cruelle ?
Le pardon sera-t-il acté par l’arc en ciel ?

De toutes façon, le bâillon, n’est plus sang thé
Il était déjà soutien gorge à cette époque,
Où des fois en porte barbe par quelques plocs.
L’autorité n’en avait plus rien à péter.

L’ancien temps révolu de Michel a cyclés.
L’année où Notre-Dame est encore bien morte
Le quatrain un peu codé est la faille forte
Du bon sang sur qui a bien menti cette année.

Ces vers virent en un verbeux verbiage. Les doigts veulent coucher sur le papier des idées trop virevoltantes pour rimer avec efficacité.

Peu sage est celui qui s’instruit par Le Livre du Visage. Même s’il se rabat sur les lunettes qui par une faute de frappe ont raté le nombre de dix puissance cent, il n’est pas certain que ca jauge d’information soit pour autant mieux comblée.

Panse tes avis comme le vieux Michel afin qu’ils traversent les siècles sans tueries.
Ni le papier, ni la chaire ne brûleront sous le feu de l’intelligence naturelle car tu déjoueras celle artificielle par la paronomase tout en te jouant des sang sues de la connerie naturelle.

Bref, concernant le bâillon et l’enfant. Adulte, abstiens toi. N’empoisonne pas l’enfant. Ne le maltraite pas. Ne le culpabilise pas. La cause sa ni terre est infondée. La nocivité est actée.

Garde moi de la série d’arguments palliatifs consistant à rejeter sur l’enfant la responsabilité de la protection de l’adulte. C’est indigne.

Par nature, l’homme est fait pour savoir protéger ses enfants. Ce n’est pas l’enfant qui est censé protéger l’adulte.

Le petit enfant devenu grand a envie de crier à l’adulte resté gland. Arrête tes conneries ! Crétin.
Il accusa l’adulte consentant de maltraitance envers lui.
Il accuse le parent volontaire à l’asservissement, acteur figurant, impuissant de la fabrique du consentement. Il ment effrontément et l’enfant ne comprend pas. Les sonorités sont si sombres au sortir de ce putain de bâillon. Vocalement tout est plus grave sous ce filtre passe bas. Les fréquences intelligibles sont sang sur.

L’enfant devenu grand lui hurle de prendre ses couilles a deux mains et de protéger ses enfants comme les humains civilisés sont censés le faire.

L’enfant urge les atrophiés sociaux à garder le symbole de leur peur bien plaqué sur leur visage sien. Nul besoin pour eux de transférer leurs propres peurs égoïstes sur le visage des enfants. Il suggère à l’adulte de se protéger tant que pour ce faire il n’envahit pas le territoire de l’autre, particulièrement de l’enfant.

A toi qui est toujours outré à la vue d’un nez qui dépasse d’un visage poupin, Lève-toi. Tu es assis sur ton cerveau et tu es en train de chier dessus… Voila, pose le doucement sur le côté, il va sécher.

Pour rappel, voici la définition de la santé selon l’OMS dans le préambule de sa constitution:

“La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité.”

Si toi, l’adulte en doutance, tu ne comprends plus rien à tout ça. Si tu te demandes, mais bon sang, comment en sommes-nous arrivés à étouffer notre progéniture dans une muselière émotive, bouillon de culture microbienne et anxiogène. Voici une astuce pour t’aider à militer.

Suis le conseil de Idriss Shah: Mets toi au courant des expériences de psychologie des 30 dernières années. Ainsi tu aura un socle solide pour la déconstruction des processus psychologiques connus et utilisés contre nous.

“Il était devant la mer. Le ciel était dégagé. Des enfants jouaient à 3 mètres devant lui sur le battant de la lame. Il passe au dessus de sa tête L’hélicoptère,
Sans doute pour vérifier qu’il porte sa muselière. Il lui montre ses glaires pensant le faire taire. Mais les militaires dans l’hélicoptère ne semblent pas avoir de notions sanitaires. Depuis la terre, sa mère, il commet l’acte qui le rend complice du silencieux matricide amer. Il remet le bâillon. Il regarde la mer. Des enfants regardent leur ancien père.”

Auteur inconnu.

retrouvé en 2021.



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